Voilà le genre de livre qui vous met en colère, en colère contre vous-même, pour avoir pris le temps, c'est-à-dire perdu le temps, de le lire jusqu'au bout.
Dès le départ, de par sa structure et son style, on sent tout de suite qu'on est plus dans l'esquisse d'un scénario pour série télévisée de second ordre, avec à chaque fin de "chapitre" le petit truc nouveau qui accroche. Mais plus on avance, plus la construction de l'intrigue paraît artificielle et forcée, jusqu'à nous faire le coup du "tout cela n'était qu'un rêve" !
Les grands sentiments se sont tous donnés rendez-vous dans ce petit roman : l'amour, bien sûr, au nom duquel une femme préfèrera voir son mari la quitter plutôt que de lui avouer la vérité, l'amour paternel, qui entrainera le mari en question à se détruire petit à petit, l'amitié, celle qui lie deux hommes depuis leur enfance, la vengeance, qui n'apporte aucun soulagement et la culpabilité qui vous poursuit toute votre vie ! Bref que du banal !
Et la fin ! Puisque tout le monde il est beau et que tout le monde il peut être gentil, Musso n'allait pas s'en priver !
Je vous en livre un petit bout, ne serait-ce que pour vous convaincre de ne pas perdre votre temps :
"Le récit qu'Evie lui avait fait de sa vie et de son désir de vengeance l'avait beaucoup marqué. Il regrettait qu'elle ne lui ait pas raconté la fin de son histoire, mais quelque chose lui disait qu'il en saurait davantage avant d'atterrir à New York. Décidément, ce voyage avait été intense, riche en rencontres et plein de surprises. Des bonnes comme des mauvaises..."
J'avais déjà lu "L'appel de l'ange" en ayant, là aussi, l'impression d'un scénario pour série télévisée, mais je suis comme cela, je ne veux pas condamner un auteur sur un seul titre, alors j'ai finalement lu celui-ci. Mais de grâce, ne m'en offrez pas un autre !
merci ma chérearmarita du petite compliment sur ma chére petite mère partie bien tôt là haut . et merci de nous faire cet article , j'aime les gens aussi par ce qui'il me dise me font gagner du temps.
RépondreSupprimermerci merci et bon 3 octobre ma chère Naupolie armarita à bient^to